1. La matière à privilégier

L’un des critères de choix à prendre en compte avant d’acheter un blouson pour motard est bien entendu la question de la matière. Vous pouvez par exemple choisir le blouson classique en cuir. Celui-ci va vous donner un look rock irrésistible. Il peut encore se décliner en look racing ou vintage. Ce type de matière est parfait pour les balades sur route ou sur piste. Entre autres, il est également possible d’opter pour une matière en textile. Les tissus de nouvelle génération offrent une bonne protection au motard et permettent de faire face au changement de températures et aux éventuelles chutes. Par rapport au cuir, la matière en textile est plus légère et plus souple.

2. La coupe à choisir

Pour le cuir, vous serez assez limité en ce qui concerne la couple. En général, les coupes sont ajustées sur cette matière. Mais avec les accessoires pour moto, vous pouvez tout de même ajouter des matières stretch et de soufflets d’aisance afin de donner un plus grand confort à la conduite. Par ailleurs, le cuir devient souple avec le temps. En optant pour du textile, vous aurez de la marge de manœuvre avec la longueur du blouson.

3. Les autres aspects à tenir compte

Le choix de votre blouson moto doit dépendre de son utilisation. Effectivement, vous n’allez pas enfiler un cuir pour faire de l’enduro, ni non plus une veste Gore-Tex pour rouler sur bitume. Ainsi, il est nécessaire de déterminer vos besoins avant d’acheter un blouson. En outre, si vous voulez acquérir un blouson équipé d’un airbag, il faut compter entre 80 et 1 000 euros.

La puissance du moteur

Le hoverboard tout terrain est votre allié si vous êtes adepte des sorties sur tous les types de routes et de sentiers. Il s’agit d’un appareil électrique dont la puissance est exprimée en watts. S’il est disponible à différents niveaux de puissance, il est impératif de choisir le modèle qui correspond à l’utilisation recherchée.

Un hoverboard tout terrain de 500 W convient notamment à un enfant. De leur côté, les adultes se tourneront davantage vers un appareil délivrant une puissance de plus de 800 W. L’objectif est ainsi de pouvoir rouler sur des terrains en pente malgré la charge importante du passager. Par ailleurs, la puissance du moteur influe sur la vitesse maximale que vous pouvez atteindre. Avant de faire un achat, retrouvez la sélection des meilleurs hoverboards tout terrain sur Energie Planète.

L’autonomie

Le hoverboard est doté d’une batterie intégrée. Pour partir à l’exploration, privilégiez un modèle avec une bonne autonomie. Ceux disponibles sur le marché peuvent généralement parcourir une vingtaine de kilomètres, grâce à une charge d’environ 2 heures. À noter que cette autonomie est fournie par une batterie de 44 Ah. Il est également conseillé de choisir un hoverboard équipé d’une batterie au lithium.

Les roues

Les roues conditionnent l’expérience du tout-terrain. Vous avez le choix entre des dimensions de 8 à 10 pouces. Sachez que les roues larges sont plus confortables pour rouler sur des terrains escarpés. Elles conviennent ainsi aux terrains rocailleux et boueux. Pour les enfants et les personnes de petite taille, les roues de 8 ou de 8,5 pouces sont conseillées afin de pouvoir manier facilement l’appareil. Outre la taille des roues, considérez le matériau à partir duquel elles sont faites. Les modèles en gomme dure ont notamment l’avantage d’être increvables.

Le fonctionnement des batteries de scooter électrique

Les batteries présentes dans les scooters électriques sont en général au lithium. Ceci a plusieurs avantages pour ne citer que la légèreté, l’autonomie satisfaisante et une bonne durée de vie. Pas étonnant donc que ces types de batteries connaissent un véritable succès, notamment dans le secteur d’automobile électrique. Sachez que les batteries au lithium possèdent une mémoire. Autrement dit, la recharge peut être reprise même quelques heures plus tard après le débranchement. Mais attention, en utilisant que certaines cellules de la batterie, d’autres vont être oubliés par celle-ci, ce qui entrainer une diminution de la performance de la batterie et de sa durée de vie.

L’autonomie d’un scooter électrique

À l’heure actuelle, il n’y a pas encore d’informations exactes sur l’autonomie universelle des motos électriques. L’autonomie varie en fonction de la batterie et du modèle de scooter. Plusieurs paramètres entrent en jeu pour déterminer l’autonomie d’un scooter électrique comme la température extérieure, le poids du conducteur ainsi que la manière de conduire. Néanmoins, il existe tout de même quelques références. Par exemple, un deux-roues électrique équivalent à 50 cc possède une autonomie entre 50 et 120 km. En ce qui concerne un scooter électrique équivalent à 125 cc, l’autonomie peut aller de 100 à 200 km.

La recharge d’un scooter électrique

Il est important de tenir compte des recommandations constructeur afin d’optimiser le chargement de votre scooter électrique. Ainsi, il convient de le brancher à une prise domestique (220 V) tout en veillant à la tension électrique. Il ne faut pas recharger la batterie lorsque celle-ci est encore chaude. Vous devez attendre que sa température baisse. Le temps de charge dure environ 3 à 6 h. Veillez donc à débrancher avant la surcharge, après 10 h.

Un moyen d’économiser

Le principal avantage d’utiliser une moto électrique est qu’elle permet de réaliser des économies, notamment au niveau de l’essence. Compte tenu de la hausse du carburant chaque année, le coût énergétique est bien moindre par rapport à celui de l’essence. Vous pouvez économiser jusqu’à 40 % avec une moto électrique.

Outre l’économie sur le carburant, il permet aussi de bénéficier d’une assurance moins chère. Les agences facturent les frais d’assurance par rapport aux risques que présente le véhicule à des tarifs à la portée de tous. Avec une moto électrique, les éventuels accidents ou désagréments sont, en effet, minimes. Donc, les assureurs sont obligés de réduire le montant de la cotisation. À cela s’ajoute l’obtention du certificat d’immatriculation à un prix compétitif. Sans compter l’offre de l’État d’une prime de 250 euros par kWh pour tous les conducteurs de motos tricycles et quadricycles électriques. Pour bénéficier de l’aide du gouvernement, il convient d’utiliser l’engin sur une période d’au moins un an.

Un moyen de déplacement écologique

Puisque les questions d’ordre écologique sont désormais au cœur de la préoccupation du monde entier, passer d’une moto classique à une moto électrique est un moyen de contribuer à la préservation de l’environnement. En effet, celle-ci est considérée comme un moyen de déplacement écologique. Ne nécessitant pas l’usage de carburant pour fonctionner, elle n’émet pas de CO2 qui pollue l’environnement. Même si les modèles écologiques ont la réputation d’être chers, vous pouvez parfaitement trouver un modèle qui correspond à votre budget sur Purerider. Aussi, avec la moto électrique vous ne participez pas à la pollution sonore. Oui, la moto électrique est silencieuse.

En plus d’effectuer un geste écologique, opter pour une moto électrique, c’est aussi se déplacer de manière légère. Cet engin ne fait que 70 kg alors qu’il peut transporter deux personnes. Notez que ce rapport de poids s’avère une excellente base de mesure énergétique.

Une facilité d’entretien

Comparé aux autres types de motos, le modèle électrique nécessite peu d’entretien. Il suffit de bien recharger la batterie pour assurer son bon fonctionnement et augmenter sa durée de vie.

Afin de préserver l’état de la moto, il suffit d’entretenir quotidiennement les pneus et la chaîne. En ce qui concerne les modèles ayant un système de refroidissement par huile, une vidange au moins une fois par an permet de garder la moto en parfait état.

Bref, l’utilisation d’une moto électrique est avantageuse sous tous les points de vue. Ce moyen de déplacement permet à la fois de faire des économies, de participer à la protection de l’environnement et de faciliter la vie quotidienne.

Le certificat de non-gage, une preuve officielle

Puisque c’est le ministère de l’Intérieur qui le délivre, le certificat de non-gage est un document officiel, mais qui n’est valable que 15 jours au jour de la vente de votre véhicule. C’est une preuve attestant que vous êtes libre de vendre votre véhicule parce qu’aucun événement ni aucun droit inscrit au profit d’un tiers n’interdit ladite vente. Ce document atteste aussi que le transfert du certificat d’immatriculation au profit de l’acheteur est possible. Donc, pour ce dernier, le certificat de non-gage est d’une importance capitale, car il lui permet d’avoir la certitude que le véhicule n’est pas gagé et ne fait pas l’objet d’une opposition.

Le fait est que si le véhicule est gagé, le nouveau propriétaire ne peut tout bonnement pas l’immatriculer à son nom. Toute autre procédure relative au véhicule ne lui est pas accessible. En d’autres termes, il aura fait une mauvaise affaire. C’est la raison pour laquelle l’acheteur va s’assurer que le véhicule est libéré de tout gage ou de toute opposition. Sans ce certificat de non-gage, l’acheteur ne va pas conclure la vente.

Pour le vendeur, le certificat de non-gage lui permet également d’avoir une idée plus précise des sommes qu’il doit encore payer à un tiers. Dans tous les cas, si votre véhicule n’est pas encore dégagé d’un gage, réglez ces contentieux. Puis, vous serez libre à 100 % de vendre votre véhicule à qui vous le voulez. Ce sera plus sûr pour les 2 parties.

Un certificat de non-gage, en quoi est-ce obligatoire ?

Pour faire une demande d’immatriculation, les services concernés ne demandent pas la présentation d’un certificat de non-gage. L’acheteur n’est donc pas tenu de l’envoyer. Dans ce sens, un certificat de non-gage n’est pas obligatoire. Mais il est obligatoire dans le sens où un éventuel acheteur ne s’engagera pas davantage s’il n’a pas sous ses yeux ce fameux document qui lui prouve que le véhicule est libre de tout gage et de toute opposition, notamment des contraventions impayées.

Il est aussi obligatoire dans la mesure où si le véhicule qu’il vient d’acquérir est gagé, il ne pourra pas faire la demande d’immatriculation. Il ne peut rien faire pour mettre ce véhicule à son nom, car le transfert de l’immatriculation sera bloqué. Sachez qu’une vérification systématique est réalisée par le système SIV (Système d’Immatriculation des Véhicules) pour savoir si oui ou non, un véhicule est gagé.

Sachez également que si vous êtes quand même parvenu à vendre votre véhicule alors que celui-ci est gagé et que le nouveau propriétaire s’en rend compte par la suite, il peut, en toute légalité, engager des poursuites contre vous. Vous ne voulez certainement pas vous retrouver dans une telle situation. Alors, autant régler les choses avant la vente. Donc, jouez la transparence et présentez un certificat de non-gage en bonne et due forme, et récent. Donc, on va dire que le certificat de non-gage est obligatoire, pour l’intérêt de toutes les parties.

Devez-vous lever un gage sur votre véhicule ?

Les cas de gages les plus courants sur un véhicule sont les amendes non payées. Dans ce cas, c’est le Trésor public qui demande une opposition sur le véhicule. Parfois, le gage est un crédit non remboursé. Dans ce genre de cas, c’est un huissier qui réclame l’opposition. Juste pour informations, il y a encore deux autres cas de figure pour lesquels un véhicule est gagé rendant sa nouvelle immatriculation impossible pour l’acheteur : les véhicules accidentés (c’est un expert pour VGA ou VEI qui pose l’opposition) et les véhicules volés (il s’agit alors d’une opposition judiciaire).

Si votre véhicule se trouve dans l’une ou l’autre de ces situations alors que vous souhaitez le vendre, vous n’avez qu’une seule solution : lever le ou les gages. Comment faire ?
Si vous ne savez plus trop ce que vous devez, les sommes que vous devez débourser, ni les détails des gages, demandez un certificat de non-gage. Si vous voyez que vous n’avez pas fini le remboursement de votre crédit auprès d’un organisme prêteur (peut-être une banque), remboursez ce crédit dans sa totalité. C’est seulement après que vous pourrez demander la levée du gage. Si c’est un leasing du type location longue durée, location avec option d’achat ou du type crédit-bail, et que vous n’avez pas non plus tout remboursé, alors, faites-le le remboursement dans les meilleurs délais. Ensuite, vous pourrez mettre votre véhicule en vente. C’est logique puisque tant que vous n’avez pas tout remboursé, vous ne pouvez pas dire que le véhicule vous appartient, ce qui signifie que vous n’avez pas le droit de le vendre, puisqu’il n’est pas encore à vous.

Qu’en est-il de l’opposition ?

Si votre véhicule est sous une opposition quelconque et si vous voulez la lever, vous devez entrer en contact avec l’organisme qui met l’opposition sur votre véhicule. Évidemment, pour savoir exactement qui appeler ou à qui s’adresser, il vous suffit de demander un certificat de non-gage. Vous saurez alors si c’est le Trésor public, la gendarmerie, un huissier ou un expert automobile qui a fait la demande d’opposition.

Ci-après quelques types d’opposition qui peuvent figurer sur un certificat de non-gage, dont le premier et le plus fréquent, ce sont les amendes. Si vous avez ignoré quelques amendes ou si vous avez oublié de les payer, c’est le Trésor public qui demande l’opposition. Dans ce cas, vous devez vous acquitter des sommes dues auprès du Centre Amendes Services pour espérer la levée d’opposition.
Une adresse non conforme constitue également une opposition très courante. Dans ce cas, c’est encore le Trésor public qui demande une opposition. De quoi s’agit-il ? En fait, si vous avez changé de domicile et que vous avez oublié de le signaler en ne faisant pas une demande de nouveau certificat d’immatriculation, alors, votre adresse actuelle n’est pas la même que celle indiquée sur votre carte grise. On dit alors qu’il y a non-conformité, ce qui entraîne systématiquement une opposition. Pour la lever, adressez-vous au Centre des Impôts et des Finances publiques. Munissez-vous de votre justificatif de domicile et mettez votre adresse à jour.
En cas de saisie de véhicule, votre seule option, c’est de voir l’huissier en charge de l’affaire et de régler les sommes dues.
Maintenant, s’il est question d’une opposition d’expert automobile, il faut une nouvelle expertise pour évaluer le véhicule. Si les avis d’expert sont positifs, alors, l’opposition qui pèse sur votre véhicule pourra être levée.

Comment faire pour avoir un certificat de non-gage ?

Vous devez impérativement présenter un certificat de non-gage de moins de 15 jours à l’acheteur au moment de la vente. Alors, que faire pour l’obtenir ? En fait, il existe des services privés et habilités parmi lesquels vous pouvez faire votre choix pour confier cette démarche. Rassurez-vous, ce sont des services 100 % sécurisés. Donc, vous n’avez rien à craindre là-dessus. Vous vous rendez sur cette page ou sur la page de l’ANTS, vous remplissez le formulaire proposé en mentionnant votre numéro d’immatriculation, la date de la première mise en circulation du véhicule et le nom du titulaire de la carte grise, donc vous. Vous obtenez votre certificat de non-gage officiel en peu de temps, en tout cas, plus rapidement que si vous entreprenez vous-même les démarches. Souvent, avec ce genre de services privés, si vous réglez le tarif par carte bancaire, votre demande sera traitée en 2 ou 3 jours ouvrés. Les frais comprennent l’envoi et le retour. Mais si vous procédez vous-même à la demande de certificat de non-gage sur le site officiel du Ministère, vous n’aurez rien à payer, ce document est délivré à titre gratuit au titulaire d’une carte grise. A noter également que si un véhicule n’a jamais été immatriculé, vous ne pouvez pas en demander le certificat de non-gage puisque ce dernier ne concerne que les véhicules déjà immatriculés en France.

Les premières questions à se poser

La première démarche pour acheter un vélo d’occasion, c’est d’en chercher sur les sites d’annonce ou les magasines. Une fois que vous en aurez détecté un à votre convenance, il vous faudra contacter le vendeur. Il ne suffit pas de prendre contact avec lui pour finaliser l’achat, toutefois. Il faut toujours voir le véhicule en réel, discuter avec le vendeur, et négocier le prix. Concernant ce dernier, le prix est défini selon le type, le modèle et la gamme du vélo. Il faut donc, se référer sur ces points en faisant des comparaisons sur toutes sortes de sites en ligne pour connaitre le prix du neuf et sa dévaluation au fil du temps. Cela vous permettra d’avoir une bonne base pour négocier et connaitre quelle marge bénéficiaire le vendeur compte s’appropriée. Une fois que vous aurez connaissance du prix, lisez attentivement les propriétés générales du véhicule. Comparez ce qui a été dit dans l’annonce durant votre constat de visu. Une fois sur les lieux, veillez à bien vérifier l’état général du vélo en le regardant de loin et de près. Si ce dernier est sale, il y a des chances que l’entretien n’ait pas été la priorité du propriétaire. Il est donc, possible que le vélo soit en mauvais état général. Dès lors que vous aurez fait une observation complète, montez dessus et faites un essai en faisant quelques tours. Si c’est un vélo tout terrain ou tout chemin, vous devrez même rouler sur des terrains accidentés pour voir le niveau de rigidité des amortisseurs, la qualité des chaines et si la vitesse fonctionne parfaitement.

D’autres éléments importants à voir

Une fois l’essai fait, vérifiez la qualité et l’état du cadre. Détectez les éventuelles traces de couverture de défaillance avec de nouvelles peintures ou l’utilisation de vernis. Contrôlez également que le cadre n’ait pas été victime de casse ou de fissure, cachée par la peinture. Sur de l’acier, cela n’est pas un problème, mais sur du carbone ou de l’alu, vous aurez des soucis étant donné que la fissure peut s’élargir rapidement. Vous devez également faire la vérification de la qualité de la selle ainsi que de sa tige. Cette dernière doit être bien fixe, sans jeu, et ajustable. Il sera aussi important d’avoir une qualité de cintre sans faille, ainsi qu’une douille de direction bien serrée et sans défaut. Une fois ces étapes faites, regardez les roues. Si les roues sont à boyau, il est important que ces dernières soient encore de qualité et sans défaut d’usure. Autrement, elles seront dangereuses sur route ou bien, vous devez les changer rapidement après l’achat. Et enfin, regardez également comment est la transmission. Vous ne devrez pas entendre de cliquetis ou de bruits gênants en changeant de vitesse. Cela doit aussi se faire très facilement. Si tous ces points sont OK, vous pourrez commencer le négoce de prix.

A connaître avant d’acheter une sacoche pour moto

Avant l’achat d’une sacoche pour moto, il est important de savoir qu’un poids additionnel peut nuire à l’équilibre et à la manœuvrabilité de la moto sur route, surtout lorsqu’on roule à grande vitesse. Donc, il faut éviter les bagages trop chargés afin de ne pas déplacer le centre de gravité et de changer la répartition des masses. Si c’est le cas, cela risquerait de causer un accident. C’est pour cela que l’idéal est de choisir une sacoche de moto légère comme bagage et non pas une grande valise. En outre, la sacoche que vous choisissez ne devrait pas vous gêner, obstruer votre visibilité ou dissimuler votre plaque d’immatriculation ou vos feux. Il faut également éviter de mettre vos bagages trop près du pot d’échappement de l’engin.

Quel type de sacoche pour moto choisir ?

La sacoche de réservoir peut facilement s’installer sur le réservoir d’une moto. Fixée à l’aide de clips ou d’aimants, elle permet de contenir une grande charge sans gêner la maniabilité du véhicule. Pratique, ce type de sacoche permet au motard de prendre facilement une bouteille d’eau, ses papiers, une chaîne antivol, etc. dont il a besoin durant le trajet. Notons que la sacoche de réservoir existe en différents formats. Les seuls petits inconvénients avec cette sacoche sont que la sacoche de réservoir peut parfois érafler la peinture du réservoir et doit être enlevée lorsque vous devez faire le plein d’essence. Si ces petits bémols ne vous effraient pas, vous pouvez l’acheter ici votre sacoche de réservoir.

La sacoche de selle installée derrière le conducteur offre généralement une contenance de 15 à 45 litres. Ce type de sacoche est souvent amovible et munie de bandoulière ou de bretelles. L’inconvénient avec la sacoche de selle est qu’elle ne vous permet pas de voyager avec un autre passager.

Les sacoches cavalières sont parfaites pour un voyage à deux, car elles peuvent contenir plus d’affaires. Installées de chaque côté de la moto, les sacoches cavalières peuvent être combinées avec une sacoche de réservoir ou une sacoche de selle. Attention, l’installation de ces sacoches doit être bien équilibrée pour garantir une bonne conduite de l’engin.

Le casque de moto modulable

Aussi baptisé flip up, le casque de moto modulable est très apprécié par les motards. Pourquoi ? Parce que ce type de casque rassemble à la fois les caractéristiques d’un casque de moto jet et d’un casque de moto intégral. Si ce modèle vous convient, vous pouvez trouver un casque de moto modulable facilement en ligne. Ceci étant, avant de faire votre achat, sachez que pour des raisons de confort et de sécurité, le casque de moto modulable n’est pas agréé pour se déplacer avec la mentonnière retroussée.

Le casque de moto jet

Le casque de moto jet, aussi baptisé open face, laisse à découvert le visage. Il est plus confortable. Ce genre de casque offre certes une sensation de liberté, mais la protection faciale est moindre, voire inexistante. Avec ce type de casque, les poussières, les graviers, la pluie et les insectes peuvent facilement toucher votre visage. Si vous portez un casque de moto jet, en cas de chute, vous risquez facilement de vous casser le nez. Le casque de moto jet se divise en plusieurs types, dont les jets, les microjets, les demi-jets et les bols. Notons que les modèles bols ne sont plus homologués pour une utilisation sur la route publique en France. Néanmoins, ils sont tolérés sur les territoires privés ou durant les rassemblements de motards.

Le casque de moto intégral

Le casque de moto intégral est le modèle de casque le plus ordinaire, mais c’est le plus protecteur, car il permet de recouvrir totalement la tête. Par ailleurs, ce type de casque offre une bonne isolation acoustique et un excellent confort. C’est le genre de casque privilégié par les randonneurs en moto sur de longs trajets et les utilisateurs de motos sportives. Or, ce type de casque devrait être porté par tout le monde, car il est très sécurisant. Le casque de moto intégral se distingue en trois types, dont le casque de route, le casque de cross et le casque de sport. Le casque de route est fait pour une conduite en position droite, le modèle sportif est réservé à une conduite en position penchée vers l’avant, le modèle de cross est doté d’une large ouverture faciale qui permet de protéger les yeux avec des lunettes, un autre masque ou une casquette.

Le casque de moto tout-terrain et le casque de moto crossover

Le casque de moto tout-terrain est fait pour ceux qui pratiquent l’enduro, le trial, la randonnée ou les compétitions de moto-cross. Ce type de casque est doté d’un écran de protection, ce qui requiert le port d’un masque ou de lunettes afin de protéger les yeux. Le casque tout-terrain est idéal pour une balade en ville ou lors d’un raid. Certains des modèles sont modulables. Enfin, il existe le casque de moto crossover qui est transformable. Il s’agit d’un casque intégral avec une mentonnière amovible et complètement supprimable.

Pomper l’essence avant le démarrage

Pour que la moto démarre plus facilement, vous devrez donner quelques coups d’accélérateur alors que le contact est en position OFF. Ce geste permet de pomper l’essence pour qu’elle remonte dans le carburateur. Attention tout de même à ne pas trop en faire, vous risquez de noyer cette pièce. Quelques mouvements de poignets doivent suffire. Si vous avez l’habitude de démarrer vos deux roues au starter, il va falloir utiliser le kick.

Veillez au bon état de la batterie et de bougies

Si le problème persiste, pensez à incliner votre moto sur le côté pour que l’essence descende par pesanteur et atteigne le carburateur. Juste après, redonnez des coups de kick, le contact en position ON. Mettez les freins. Parfois, le souci vient de la bougie. La partie qui brule le mélange de carburant et d’air peut rouiller si vous laissez votre moto au repos pendant plusieurs semaines. Enlevez la bougie et vérifiez son état. Faites la même chose pour la batterie après un long hivernage.

D’autres astuces efficaces pour démarrer à froid

Un spray de démarrage permet d’accélérer le processus de combustion. Cet aérosol est à pulvériser sur le filtre à air. Attention, lisez attentivement le mode d’emploi avant d’adopter ce produit. Puis, la bonne vieille poussette est aussi bonne. Vous devrez tout simplement démarrer votre moto en contre-attaque, comme pour les voitures. Cette solution convient aux modèles ayant deux cylindres et plus. Pensez à lâcher l’embrayage au bon moment.

Évaluez bien la prime d’assurance

Vous devez savoir que, pour un deux-roues, le coût de la prime est déterminé à partir de quelques critères de base comme la cylindrée de la moto, le profil du conducteur, l’endroit où il vit et l’utilisation du véhicule. À noter que, plus la moto est puissante, plus son assurance est coûteuse. Lorsque vous désirez souscrire un nouveau contrat, l’assurance vous sollicitera un relevé d’informations et, si vous êtes un jeune conducteur ou un conducteur ayant été résilié, votre profil sera considéré comme à risques. La compagnie vous demandera de payer une surprime. Par ailleurs, si vous habitez dans une localité qui fait l’objet de nombreux sinistres, la prime sera aussi élevée. La prime sera également importante si vous utilisez le scooter quotidiennement. Parmi ces critères, c’est particulièrement votre profil en tant que conducteur qui déterminera le coût de votre assurance.

Faites des comparaisons pour payer moins cher votre assurance scooter

Pour trouver une assurance scooter pas chère qui vous convient, vous devez impérativement comparer les offres existant sur le marché. Pour ce faire, vous pouvez utiliser un comparateur d’assurance scooter pas cher. Vous pouvez aussi demander plusieurs devis auprès de différents professionnels du secteur. Mais vous pouvez aussi tout simplement contacter un courtier en assurances qui s’occupera de toutes les procédures à votre place. Néanmoins, cette dernière solution est bien coûteuse, alors que le comparateur en ligne est totalement gratuit, pratique et efficace.